[Recruté]Myarage la sanguinaire

Pfffff...Quelle galère, j'vais en avoir pour la nuit à écrire mon histoire...

Un corps tomba mollement à terre tandis que Myarage, une disciple du vil dieu Sram, rangeait ses dagues.
Alors que du sang s'écoulait encore de la plaie béante dans la gorge de l'homme elle s'assit sur le ventre de ce dernier, déroula un parchemin et trempa une plume, qu'elle avait arraché au puéril volatile qui se faisait appeler Maître Corbac, dans le sang de l'homme. Elle se mit alors à écrire d'un geste rapide sur le morceau de papier.

Je me prénomme Mya, certains disent de moi que la rage habite mon corps c'est ainsi que je fut appelée Myarage à travers les temps. Je suis née dans un petit village, désormais disparu, niché au fin fond de la forêt des Abraknydes. Dans ce village où la déesse Sacrieur était vénérée les enfants étaient tous bénis à l'âge de cinq ans. C'était une cérémonie très importante pour les habitants et le village entier était convié quand une cérémonie de ce genre se déroulait. Lorsque mon tour vint enfin l'église dans laquelle se déroulait la cérémonie pris feu dans d'immenses flammes noires. Aussitôt je fus jugée comme une démone, une sorcière et je me vis bannie du village.

La sramette fit une pause et leva les yeux au ciel, une puissante nostalgie avait empli son cœur et un immense sourire se dessinait sur son visage. Elle déposa sa plume quelques secondes et enfonça sa main dans la gorge de sa victime et tira d'un coup sec sur un morceau de peau ce qui provoqua une grande effusion de sang. Elle retrempa sa plume et se remit à écrire.

Je me retrouvai seule dans un environnement extrêmement dangereux, sans comprendre pourquoi j'étais ici au lieu de me trouver aux côtés de mes parents. Je compris malgré tout vite que je devais me trouver à manger et un abri. N'ayant que mes petit bras je ne pouvais pas aller chasser. Des fruits, je devais me contenter de fruits. Peu de temps après je découvrais une grotte et à peine 20 mètres plus loin se trouvait quelques arbres à fruits divers. Je passai la nuit ici et lorsque le soleil se leva le lendemain une ombre de presque deux mètres se tenait près de moi. Une voix sombre et profonde résonna alors dans la grotte.

N'ai pas peur mon enfant. Je t'ai amené à moi pour que tu accomplisses ma vengeance. Tu seras mon bras armé et je prendrai soin de toi. Suis-moi fillette.

L'ombre me tendit sa main que je saisis, je me rappelle encore la sensation que j'ai eue en la touchant, cette main froide et osseuse dégageait une telle puissance...Je ne sais toujours pas pourquoi je l'ai suivi mais je sais que jamais je ne l'ai regretté. Lorsque nous sortîmes de la grotte je découvris un peu plus clairement "l'ombre" je ne distinguais en fait qu'une longue cape noir recouvrant la totalité de son corps mince et élancé, au niveau de sa taille une dague pendait alors qu'aucune ceinture n'était visible, je distinguais également son bras qui n'était fait que d'os, il rangea d'ailleurs son bras sous sa cape peu de temps après.
Je ne connaissais pas son nom, je ne connaissais rien de lui d'ailleurs mais je me mis à exécuter ses ordres. Des ordres simples et qui me paraissait bien bête à l'époque, est-ce difficile d'aller chercher un morceau de bois ? Est-ce difficile de courrir le plus vite que je le pouvais ? Bien sûr que non mais aujourd'hui je pense que ceci n'était qu'un petit test. Peu de temps après ma "quête" commença. Les missions qui étaient simples à la base devinrent de plus en plus dures, il me demandait d'être toujours plus rapide, toujours plus agile, toujours plus forte, toujours plus habile, toujours plus maline. Chaque fin de journée était toujours plus fatiguante, il ne me laissait aucun répit même durant mon sommeil je devais être prête à surmonter une de ces épreuves. Deux semaines après notre rencontre j'avais déjà du sang sur les mains, tuer un animal de ces propres mains lorsqu'on est une fillette âgée de cinq ans c'est ce qu'il y'a de plus...jouissif. Je ressentais un plaisir malsain à tuer des bêtes de manière de plus en plus cruelle, si bien qu'un jour mon maître me confia une dague pour que je puisse "laisser place à ma rage" comme il disait. Je pense encore que ce fut le plus beau jour de ma vie, je me revois donner des coups meurtriers dans les corps de ces bêtes, ce sang qui giclait me rendait folle de joie, la douleur qu'ils ressentaient me faisait renter dans une transe sanguinaire si bien que ce fut par dizaines que des animaux tombèrent sous mes coups. Lorsqu'enfin la nuit tomba et que je repris place aux côtés de mon maître il m'éduqua réellement pour la première fois aux arts obscures et à la maîtrise de la douleur d'autrui. J'appris beaucoup de choses cette soirée là, j'appris même la raison de ma présence dans cette forêt, je me rappelle les paroles qu'il prononça d'une voix tellement effrayante.

Je suis Sram, le dieu sournois. Tu n'as jamais entendu parler de moi car ton ancien village n'était préoccupé que par Sacrieur, une déesse à mon instar. Je suis un être très jaloux et ma récente dispute avec Sacrieur causera la perte de ce village, je t'ai choisi pour que tu le détruise, tu es une enfant maudite selon eux mais bénie par moi, je vais t'entraîner pour que tu tues ceux qui t'ont rejetée et qui m'ont méprisé, tu n'as d'autres choix que celui-ci.

Une enfant normal aurait peut-être pris peur, se serait peut-être mis à pleurer mais moi, je ris. Je me mis à rire, à éclater de rire j'étais fière de ce présent, j'étais heureuse de pouvoir me venger, j'étais impatiente à l'idée de devenir puissante...
Tout le reste de la soirée j'appris les pouvoirs qu'il pouvait m'offrir, les aptitudes tellement merveilleuses à ma disposition et le lendemain à la première heure je m'entraînais déjà pour pouvoir les maîtriser. Durant plus d'un an je passais nuits et jours au côté de Sram, il disait que j'étais sa plus talentueuse disciple et qu'il était fier de son choix. Un jour alors que je m'amusais à taillader un Abraknyde, Sram vint me parler.

Mon enfant, approche. Je t'ai enseigné ce dont tu avais besoin de savoir pour être une de mes fidèles. Je pense que tu es désormais prête à accomplir notre vengeance, es-tu prête toi aussi ?

Oui, maître.

Bien. Je sentis comme un sentiment de satisfaction dans sa voix. Je vais te donner mes dernières instructions car désormais tu feras route seule, je les ai notées sur ce parchemin.

Il me tendit un imposant parchemin que je ne pris pas la peine de dérouler et que je posa à terre, je n'aimais pas m'instruire ou lire je préférais l'action, et ceci n'a pas changé. Il me tendit également une tunique noire ainsi qu'un coffret.

Cette tenue sera celle que tu arboreras en mon nom chaque heure du jour et de la nuit, elle te rappellera que je suis à tes côtés et sera là pour te protéger du danger, de plus elle se rendra invisible en même temps que toi. Ce coffret contient une paire de dagues, tes dagues. Chaque dague à son âme et sa personnalité, elles sont irremplaçables et t'accompagneront jusqu'à ta mort alors apprend à les connaître.

J'ouvris le coffret et découvris une magnifique paire de dagues, elles brillaient d'une lueur malsaine qui me plut tout de suite. Souffrance et Rage. C'est ainsi que je les appelais, aujourd'hui encore elles sont mon âme et mes armes. Je lançais un regard à Sram qui disparut. Ma mission commençait.
J'enfilais ma tenue et déroula le parchemin de Sram, un plan indiquée le chemin pour le village, après avoir refermé le parchemin je courus dans la direction indiquait. Après plus d'une heure de course j'arrivais essouflée devant le village, j'aperçus une nouvelle église et je me rendis compte que le village était bien calme, effectivement la nuit était tombée sans que je m'en rende compte. Cette nuit fut ma plus grande œuvre. Je me faufilais de maison en maison déchaînant ma folie créative en tuant ces faibles êtres qui m'avaient abandonnée. Certains bafouillaient des excuses avant de mourir tandis que mes dagues virevoltaient de gorges en gorges, de grandes effusions de sang, des mains, des intestins, des yeux un immense mélange aux couleurs attrayantes et à l'odeur alléchantes. Mon corps frissonnait de plaisir il était animé par la rage et le plaisir, j'étais la maîtresse de ce désastre, la déesse de leur mort, la créatrice d'un tableau de désolation. Lorsque mon massacre fut fini je m'endormis sur le tas de cadavres que j'avais rassemblé.

Mya s'arrêta d'écrire un instant, une petite larme de joie roula sur sa joue, elle s'apprêta encore une fois à retremper sa plume dans la gorge de sa victime et s'aperçut que le sang commençait à se faire rare, il fallait faire bref.

C'était ma première mission mais aussi mes premiers assassinats, les premiers d'une très longue série. Ma vie se déroula ainsi, des massacres, encore des massacres, et encore, mais chaque fois je retrouvais le plaisir de la première fois. Durant longtemps j'ai erré en tuant toutes les personnes que je rencontrais. Durant mon parcours qui m'éleva jusqu'au galon 145 j'ai longuement fait une halte à Brakmar, la cité sombre. Je rejoignis même les rangs de Oto Mustam, la perspective de pouvoir tuer des Bontariens à longueur de journée m'enchantait clairement. J'ai parcouru maintes terres, durant maintes années mais lorsque j'appris l'existence d'un clan me permettant peut-être de pouvoir être demandée pour tuer je fus très attirée, ma folie sanguinaire allait être connue de tous et mon art allait être enfin reconnu.
Cette lettre sera le symbole de mon envie de rejoindre votre clan, c'est à vous de décider dorénavant.

Mya se leva enfin du corps inanimé, le sang de l'homme séchait vite et déjà le parchemin était prêt à être scellé. Elle plia la lettre et d'un simple toucher du doigt fit apparaître un étrange sceau noir.
Quelques minutes plus tard dans la demeure des Allieurs...
Une vitre se brisa sous l'impact d'une tête qui traversa la pièce avant de se figer dans un mur, une grossière dague de fer enfoncée dans le crâne était planté dans le mur tenant la tête en "lévitation". Dans la bouche de l'homme la lettre de Mya reposait...

[HRP]
Je suis une jeune fille âgée de 19 années.
N'ayant pas encore choisi d'études supérieurs mes activités sont soit la glande soit quelques petit boulots par-ci par-là, je n'aime pas trop dévoiler ma vie je vais donc m'arrêter là.

En espérant que ce petit RP vous plaise, bon jeu à vous.

Mya
[/HRP]

Sacripierrot arrive avec un marteau planté dans le cœur il marche tout doucement et manque de tomber a chaque pas. "Huh, salle macaque!" Il regarde les candidatures et voit celle de Myarage... *siffle d'étonnement* "Ça, c'est du récit! Mais, moi, j'aime bien les disciples de Sram! Depuis ma quatrième barrette je me suis fais aidé par ces disciples. Bah, je doit être une exception..." Il enlève le marteau de son cœur en lâchant un énorme cri de douleur, et écrit avec:
Myarage, j'aime ton récit, je penche vers un avis favorable. Mais, je vais attendre un peu. En tout cas, tu es sur une bonne voix.

Que dire à part que vous n'avez aucune finesse dans vos actions, que vous avez du mal à contrôler vos émotions et que vous tuez plus par plaisir que par obligation
Une vrai iopette continuez mais tâchez de limiter les tâches de sang
J' aurai cependant quelques remarques à vous faire :
- Comment être sur de votre loyauté ?
- Pourquoi vouloir nous rejoindre nous ?

P.s j' espère que Sram ne vous a pas donné vos dagues trop tôt dans votre entraînement sinon vous risquez de ne pas être très efficace
À oui j' ai une sainte horreur des vandales

Mamy-litaire encore tremblante se décida à écrire:

Rien qu'a lire votre lettre je n'ose imaginer comment elle est arrivée jusque ici! Des gouttes de sueur glissent encore le long de mon dos!
Que dire . . . ?!
Vous êtes, . . . . surprenante. Je préfère sincérement vous savoir dans nos rangs, que rodant autour de la maison l'humeur aigrie.
Mais avant de vous laisser mon avale complet j'attendrais les réponses aux questions de Sieur Kobalt.



Puis elle repartit, surveillant ses arrières.

Pour la première fois Myarage pénétra dans la demeure des Allieurs, c'était une vaste demeure fort bien décoré. Elle s'aperçut que sa lettre reposait sur une table, elle s'approcha lentement en observant les gens présent dans la pièce, un sourire sournois se dessinait sur son visage mais elle le réprima. Enfin arrivée à la table elle lut les réponses qui avaient faites à sa lettre. Après en avoir fait le tour elle se saisit d'une plume qu'elle trempa dans l'encre et se mit à écrire.

Citation :

Je vois que certains ont des doutes sur ma capacité à savoir me tenir tranquille. Certes tuer me procure un sentiment exquis mais ma vision de ma mission ne s'arrête pas là. Si tuer il faudra je le ferais avec joie, mais mes talents ne se résument pas seulement à ceci, je suis capable d'aider si il y a nécessité je ne suis peut-être pas si terrible que sa....Peut-être pas....Quoi qu'il en soit Theodel pour vous répondre oui je suis capable de prêter mes talents à d'autres occupations. Quand à vous Kobalt sachez que je n'ai que faire de l'argent et je refuse donc que l'on me traite telle une vandale que cela reste clair ! Quand à ma loyauté, elle n'est pas à démontrer, n'ai-je pas prêter allégeance à celui qui m'as fait tuer ma famille ? Je pense donc être une personne sur qui l'ont peut compter une fois ma fidélité acquise on ne s'en débarrasse pas.
En ce qui concerne ma volonté de vous rejoindre vous je doit avouer que la bouche de mes victimes étaient très grande ouverte, certains prétendaient qu'un clan de mercenaires allez les vengez, je n'y croyais que peu au début mais une fois en possession d'assez d'informations je me suis mise à apprécier vos valeurs et l'idée étant très alléchante de pouvoir, je me le répète, être demandée pour m'amuser, pour tuer. Ces motivations ne sont certes pas des plus honorables mais pour moi représente beaucoup.

Diaboliquement votre,
Myarage.

Après avoir fini d'écrire Mya repose la plume et s'assit dans un coin de la pièce, cette fois elle serait disposée à parler en étant face à son interlocuteur. Elle jeta un regard meurtrier à un Iop qui la toisait avant de se perdre dans ces pensées.

Quand je parlais de vandalisme, je pensais à la vitre. Certains ont fracture notre porte par 2 fois. Je préfère les entrées plus traditionnelles.
Après je ne mets pas en doute vos motivations seulement vos manières

Après avoir trainée pendant des heures dans la zone Arctique, Pimousse rentra se réchauffer dans la maison du Chateau. Elle était complètement gelée des pieds à la tête... Les bonhommes de neige qu'elle avait croisé étaient certainement plus réchauffés. Elle s'assit dans un coin à l'étage, sortit de quoi écrire de sa besace, et commença à rédiger ses lettres. Elle avait bien du boulot, c'était marrant d'aller jouer sur la glace mais avec tout ça elle n'avait pas prit le temps de répondre aux postulations.

En se rappelant l'histoire de cette disciple sram, elle grelotta de plus belle.

Citation :

Bonsoir,

Je rejoins la réflexion de Mamy-Litaire,
il vaut certainement mieux vous compter parmis nos amis, et compagnons de route,
que risquer de rencontrer vos dagues au détour d'un chemin.
Mais il y a plus que ça, votre histoire est assez... impressionante, et votre candidature vraiment très intéressante.
Vous paraissez être une bonne guerrière, et vous avez suffisament parcourue notre monde pour en connaître toutes les facettes.
Je soutiendrais votre candidature.

A bientôt, Pimousse

Après avoir plié proprement sa note, elle la rangea dans son sac pour ensuite la déposer au rez de chaussée, et passa à la suite. Une nouvelle feuille, de nouvelles idées.

Attablé, la langue sortant au coin de la bouche dans son effort de calligraphie, le sacrieur n'a même pas remarqué que Myarage n'a pas quitté les lieux mais c'est juste installée dans un coin de la pièce. levant la tête sur une candidature plus ardue il sursaute en voyant qu'il n'est pas seul.

"Oula pardon Mya, j'avais même pas vu que tu étais là aussi. T'aurais même pu me planter une dagues que j'aurais rien dit. *rire nerveux*. Que dirais tu d'une petite balade pour vous dégourdir les jambes quand j'en aurai fini avec ça?" Il désigne alors par "ça" une pile de parchemin impréssionnate.

"Oui bon...On verra p'tet ce soir pour la promenade, mais on peut papoter en attendant. Aller, je m'y remet, il dois rester un fond de lailait et de la bière dans le placard si tu es assoiffée."

Le sacrieur se replonge alors dans ses travaux

Mya lança un regard froid à Theodel, elle passa sa langue sur ses lèvres avant de sortir ces dagues.

-Ton sang ne m'intéresse guère, mais sache que je serais...

Mya marqua une pose, elle semblait réfléchir aux mots à employer.

-"Ravie" ? De discuter avec toi.

Elle s'approcha lentement de Theodel, son regard balayait ce-dernier de haut en bas.Son bras, portant sa dague, se leva d'un geste vif et elle planta son arme dans le tas de parchemin.

-Mais je ne suis pas de nature patiente. C'est maintenant, ou....je changerai d'avis sur ton sang.

Elle lança un sourire à Theodel, bien qu'il paraissait amical il ne l'était pas plus qu'un trooll enragé.

Le sacrieur ne sursaute même pas au coup de dagues de Myarage, il se contente de la regarder un petit sourire amusé aux lèvres. Il saisi alors l'arme la retire de son fourreau de papier, et après en avoir admiré le tranchant la jette d'un geste preste à sa propriétaire.

"N'abime pas le mobilier ou les parchemins. Et ne me crois pas impressionnable par ce genre d'éclat."

Il se penche alors à nouveau sur la candidature dont il s'occupait.

"Je n'ai pas que toi en tête en se moment ne t'en déplaise, mais je suis tout a fait a même de discourir tout en lisant ces quelques feuilles. Tiens, peut être acceptera tu de contenter ma curiosité? Je me demandais ce qu'il en était de tes capacités à travailler en équipe, je sais d'expérience que les disciples de Sram sont d'une nature solitaire. A tu pour ta part des compagnons de prédilections?"

Le sacrieur avait prononcé cela sans même relever la tête, nullement inquiété par le regard de Myarage qui semblait estimer la quantité de sang que pouvait contenir se corps.

Je pens que tu as les qualités nécessaires pour entrer ici. Je suis POUR ton entré.

-Kyxu- s'approcha du grimoire, et y lut ce qui concernait Myarage.
Il tremblait de peur. Une personne aussi atrocement meurtrière désire nous rejoindre?

"Et si, dans un éclair de folie, elle décidait de tous nous tuer? J'avoue que cette personne me fait froid dans le dos. Il faut que je me dépêche d'écrire ma note, pour que nos routes ne se croisent pas... Pas maintenant, je tiens à la vie!"

Chère Myarage,

Je perçois dans votre texte ces pulsions meurtrières qui semblent rythmer votre vie. Saurez-vous contrôler cette rage qui vous anime pour qu'un éventuel client, au terme du contrat, ne soit pas assassiné de vos mains??

Saurez-vous à résister à l'envie, parfois irrépressible, d'exprimer cette rage par la violence dont vous faites preuve?

J'avoue que l'idée d'avoir une telle personne dans le clan dont les réactions sont si imprévisibles me fait peur....

J'attends des explications


-Kyxu-

Theodel relève la tête, "Décidément, il y a du passage ici." il tourne alors la tête vers Myarage

"j'ajoute une question à la première, tu arbores ces derniers temps de belles ailes rouges, je me demande ce qui a motivé ton attachement, peux tu m'en dire plus?"

Il se replonge alors, dans ces lecture attentif discrètement à son interlocutrice

-Theodel....Je commence sérieusement à t'apprécier finalement. Je vais te répondre. Sache que je ne suis pas complètement folle, impulsive oui, mais pas suicidaire au point de me lancer seule dans des combats impossible pour moi, pour l'instant. J'ai déjà coopéré avec d'autres personnes par le passé, d'ailleurs l'un d'entre eux n'est autre que Nidaime que je côtoie encore aujourd'hui. Quand à mes ailes...à vrai dire je n'ai pas vraiment de motivations, juste une petite passion pour le combat comme vous avez du le comprendre... Mais il est vrai que je préfère les motivations brakmarienne que je trouve moins hypocrite que celles des bontariens.

Mya marque une pose, elle se retourne et vit Mamy-Litaire ainsi qu'un disciple de Sacrieur qu'elle ne connaissait pas, tous deux étaient près du grimoire. La jeune femme s'approcha du livre sans même faire attention au deux personnes et se mit à lire. Après quelques minutes elle releva la tête et fit face au Allieurs.

-Sache disciple de Sacrieur que je suis capable de me contenir...dés fois. Mais je pense être capable d'apprendre à me contenir. Si jamais une rencontre ultérieur doit vous en persuader, j'en serais enchantée.

Elle déposa ensuite son regard sur Mamy et lui adressa un petit sourire.

-Je tiens à m'excuser de mon attitude d'hier, j'étais perturbée par des actes qui c'étaient déroulés plus tôt dans la soirée et je m'ennuyais fermement, trop peu d'actions peut-être. Je m'excuse encore, j'espère que cela ne se reproduira pas mais je suis quelque peu lunatique.

Mettant une dernière touche à une lettre le sacrieur essuie consciencieusement le sang de son bras gauche pour prendre le temps de la réflexion.

"hum...Pour ma part sans dire que mon sentiment va jusqu'à 't'apprécier', tu m'intrigues fortement. Quand aux histoires Brakmariennes et Bontariennes j'avoue que pour moi les deux citées se valent et si ce n'étaient le goût de se mettre des bonnes raclées sous des "idéaux", très peu le font en sachant se qu'implique leur allégeance à une ville ou à une autre...Bon ça n'est pas que je m'ennuie en ta compagnie mais je vais devoir te laisser."
Le sacrieur plie alors son matériel, et alors qu'un petit sourire se forme peu à peu sur son visage, il se tourne vers Myarage et dit :
"Je vais appuyer ton entrée parmi nous, même si je ne suis pas seul décisionnaire, c'est un pas de plus. Aller Bonne fin de journée a toi."

La jeune Sramette très occupée ces derniers temps fit un passage éclair dans la demeure des Allieurs, avant de repartir pour de nouvelles aventures, et vit un message du noble Theodel. Elle se saisit rapidement d'une plume et se mit à écrire.

-Cher Theodel, je m'excuse de ne pouvoir vous accordez plus de temps ni de réponses en ces temps mais je suis malheureusement très occupée et je n'ai même plus assez de temps pour m'en accordez à moi-même, peut-être cela changera-t-il prochainement. En espérant vous revoir,

Mya.


La sramette reposa la plume avant de repartir aussi rapidement qu'elle était arrivée.

[HRP]Je m'excuse mais je ne joue que peu en ce moment à Dofus étant un peu plus occupée sur le jeu appelé World Of Warcraft, mais ce n'est que partie remise .[i]

Venant de foutre sa raclée au Moon, Pimousse rentrait chez elle fatiguée... Alors qu'elle s'appretait à aller se coucher *PAF !*
"Oh bordel, les lettres de convocation !"
Suite à cette illumination, elle alla s'asseoir à son bureau et se mit au travail.

Citation :

Bonsoir Myarage,
Nous organisons demain soir, le lundi 19 [[Janvier]] une réunion afin de rencontrer quelques prétendants au recrutement.
Vous êtes donc invitée à nous rejoindre pour passer un de nos petits entretiens.
Nous vous contacterons dans la soirée. La réunion se tiendra dans la maison des Allieurs sur la place du chateau d'Amakna.
A bientôt, Pimousse.

[[Bien que tu ne sois plus trop présente parmis nous en ce moment, je poste tout de même si jamais tu passes par là d'ici demain.]]

Citation :

Une réunion aura lieu ce soir. Nous vous contacterons dans la soirée, pour vous inviter à nous rejoindre.
Pimousse.

Une lettre se glissa sous la porte de la demeure des Allieurs,sur celle-ci était écrit les mots suivants

-Bonsoir.

Je m'excuse de n'avoir pu vous rejoindre hier soir mais mes yeux se fermaient d'eux-même sans cesse, la fatigue ? une maladie ? Je n'en sais rien, peut-être à bientôt....

[Hrp]J'ai eu de gros problèmes avec ma connexion internet hier soir et j'étais déconnecté toutes les 5 minutes alors....Encore une fois désolée.[/Hrp]

Après un entretien réussi, Myarage a rejoint le clan des Allieurs.