[L'Histoire] Karasu [acceptée]

Voila qui est beaucoup mieux. Un texte beaucoup plus travaillé et structuré de facon correcte.
Continue tu es sur la bonne voie.

C'était le message que je lui avais laisse apres mon passage dans la maison des Allieurs

J'aime bien l'histoire, mais demande une rencontre pour pouvoir poser mon avis.

Dropement.

Mamy-litaire, Bizut Allieur.

[[ Voilà qui est bien mieux, j'ai pas mal apprécié. ]]

[[Je suis POUR ton entrée ici]]

Ptite-Jenni aperçue Sacripierrot entrain de répondre à la candidature de Karasu, elle s'approcha pour écrire ces quelques mots :

Cher Karasu, j'ai beaucoup apprécié votre candidature. Je suis Pour votre adhésion parmi nous.

Partis pour quelques jours, je revins ressourcé grâce a la merveilleuse ville de Sufokia, entouré d'eau, avec des bâtiments magnifiques ... mais ça fait du bien de revenir dans son petit village.
Voyons voir si durant mon absence les Allieurs on daigné répondre a ma candidature ...


Fiers Allieurs,

Un grand merci pour le soutien de Sacripierrot et de Ptite-jenni, et qui plus est un soutien positif !
Theodel je pense qu'un rencontre est nécessaire, car vous m'intéressez beaucoup.
Encore merci pour vos soutiens respectif.

Dofusement vôtre,

Karasu.

Je repartis aussitôt vers les lointaines terres de pandala ...

Pimousse relut rapidement les différentes notes de réponses à cette candidature, elle sourit et recommença à écrire.

Karasu,
Vous êtes convoqué ce soir à la réunion qui se tiendra dans la demeure du Chateau.
Nous pourrons alors parler sérieusement de votre candidature.
Nous vous contacterons pendant la soirée, pour vous inviter à vous joindre à nous.

A très bientôt, Pimousse.

"Oooh quel dommage..." pensait Pimousse.

Karasu, j'ai bien prit note de votre absence, c'est regrettable.
Je vais essayer de rassembler le Clan demain en début de soirée, pour que vous puissiez passer votre entretien.
Nous vous tiendrons au courant.

Pimousse.

Citation :

Nous serons là ce soir pour vous recevoir dans notre demeure.
Nous vous contacterons dans la soirée pour vous inviter à nous rejoindre.
Pimousse

Le pèlerinage.


Colère est le premier mot qui me vint à l’esprit … tout ce temps pour rien, pour échouer si près du but …
Déception est ce que je ressentis ensuite, pourquoi pas moi … Qu’ai-je fais de mal …
Exiler … c’est ce que je devais faire, je partis donc pour Sufokia et ses grandes étendues bleues …
En faisant mon sac et attachant la selle de Kuroari je ressentis des présences … c’était Theodel et Mélancoline.
Je les écoutai longuement ils repartirent a la fin de leurs discours. Ce que je venais d’entendre me donna à réfléchir, chacun de leurs mots était remplis de sagesse et de bon sens … Comment n’ai-je pas pus me rendre compte de mes erreurs …
Dégout, c’est ce que je ressentais en pensant à mon attitude, a mes réponses …

Montant sur ma monture et prenant la direction du chemin menant à Sufokia et ses belles plages, je réfléchis, je ne pouvais plus faire que cela maintenant …
Je n’arrive pas à tuer, j’ai l’impression que je rentre dans le jeu des vils dieux qui ont décidés de faire la guerre entre eux … pourquoi nous utilises-t-ils afin de régler leurs différents ?
Pourquoi tout le monde s’entêtent a se faire la guerre pour des lopins de terres ?
Des morts futiles s’enchaînent, des familles brisées, des orphelins … comme moi … eux ne comprendrons jamais pourquoi, je ne comprendrais jamais pourquoi.



Au détour d’un chemin, un bruit de combat me parvint aux oreilles, un vieil homme de blanc vêtu était jeté à terre par deux guerriers, des Iops apparemment, entièrement recouvert d’armures et d’armes …

L’un d’eux m’aperçut et me dis :

-Passe ton chemin étranger ou sinon il t’en coutera …

L’homme à terre me regarda et me supplia de l’aider :

-Pitié …, me dit-il.

Sans réfléchir je tendis une main vers les deux hommes, et dans un geste large attaqua naturellement, l’un d’eux, blessé, me fixa et psalmodia une incantation …
J’activai immédiatement mes boucliers et le sort s’évanouie juste devant moi.
Sortant mon bâton je sautai de ma monture et frappa le second guerrier qui s’évanouie aussitôt.
Me retournant je vis ma Kuroari en train de piétiner l’homme aux sorts, je l’immobilisai et me rendis compte qu’il était mort …
Je me retournai vers le second guerrier quand je vis l’homme en blanc lui enfoncé une épée dans la nuque … Je me promis intérieurement de faire une prière pour ces deux âmes mortes involontairement.
Je demanda alors au vieil homme qui épousseta sa tenue blanche :

- Que vous est-il arrivé ? Tuer cet homme était-il réellement nécessaire ?
- Merci étranger, merci pour votre aide rapide et efficace, ces deux hommes ont capturés mon petit fils et mon demandé une rançon pour sa libération … Malheureusement n’ayant pas de quoi payer je ne pouvais pas leur donner ce qu’ils voulaient et vous êtes arrivés a ce moment là …
- Où est votre petit fils vieil homme ? demandai-je …
- Dans cette direction … suivez-moi !


Après quelques instants nous aperçûmes un enfant en pleure attaché a un arbre, le vieil homme couru dans sa direction et le détacha, après quelques larmes il me regarda et me dit :

- Voila pourquoi il était nécessaire que je tue cet homme, afin de revoir cet enfant, c’est ma seul famille. Afin qu’il ne lui arrive rien je suis prêt a tout … n’en doutez pas !

Après des remerciements chaleureux je repartis vers ma fidèle monture que je congratulai pour son combat, je me remis en selle et poursuivis ma route avec un regard nouveau sur le monde.
Il existait des cas d’après l’homme, ou l’on peut tuer … on peut tuer pour se défendre, pour défendre un être cher et même pour un idéal …
Le soir tombant je m’arrêtai prêt d’un arbre et après avoir nourri ma monture je m’adossai et cet arbre. Je commençai a prier pour ces deux âmes mais je ne ressentis pas l’habitude chaleur et bienfaisance qui m’enveloppais jusque la …
Était-ce dut aux paroles de l’homme, à mon changement de vison sur la mort d’autrui ?
Je ne le savais pas, mais ce que je savais c’est que je ne ressentais plus le besoin de prier pour les morts …

Au petit matin je repris ma route vers Sufokia, je me surpris moi-même quand a ma sérénité, je ne ressentis pas la moindre émotion quand aux morts de la veille, j’arrivais enfin a faire la pars des choses et je retins une chose important : Il y a des morts utiles, chaque mort a son utilité … aucune mort est vaine et inutile … les dieux ont une mission pour chacun de nous.
Je me rapprochais de mon but de plus en plus serein quand a moi-même, mes ressentis, à mon problème avec la morts de mes deux amis …


Arrivé a un croisement j’aperçu des panneaux de bois, dessus étaient affichées des affiches … de recrutement. En effet Bonta et Brâkmar faisaient souvent se genre de propagande … je les regardai longuement, l’une pour Bonta prônait la blancheur la plus totale, la vérité pure, la sincérité et la force au service du bien … un peu trop idyllique a mon goût. L’autre pour Brâkmar prônait quand a elle une méchanceté sans borne, une ruse sans limite, et une haine au service du mal … trop dévastateur, violent et gratuit a mon gout, la haine pour la haine, cela ne faisait pas partis de mes convictions …
Bonta ou Brâkmar pourquoi choisir l’un ou l’autre, moi j’ai choisis de rester neutre dans ce conflit, afin de profiter de toutes les opportunités qu’offre chacune de ces deux cités …

Pourquoi se faire la guerre inutilement ? Pourquoi dépenser tant de kamas dans cette guerre alors que beaucoup trop de gens meurt de fin …

Je pris le chemin de gauche et me retrouva, après une bute, devant un spectacle qui m’émerveilla au plus haut point … Devant moi ondulait une mer de points scintillant au soleil couchant … une brise légère et fraiche vint ébouriffer mes cheveux …
Je descendis de Karuori qui resta muet et immobile devant un paysage encore inconnu pour ma monture, le sable passa au travers de mes guetta et vint réchauffer mes pieds …

Je fis du feu au bord de cette mer et regardant les étoiles qui apparaissaient peu à peu je m’endormis.

Aujourd’hui je me sens bien, je suis confiant, serein … je maîtrise parfaitement mon pouvoir et mes sentiments, bien que la futilité de la guerre Bonta et Brâkmar reste encore un mystère pour moi, je sens que j’ai changé …
Mon pèlerinage était indispensable, grâce aux conseils de Theodel et de Mélancoline je suis enfin parvenu à atteindre une stabilité, une paix intérieure …

Et pour cela je les en remercie …





[HRP] Suite a un contre envers ma candidature durant l'entretien, et suite aux demandes de murissement de mon personnage voici un pèlerinage qui j'espère vous satisfera afin que nous nous revoyons pour un nouvelle entretien ... en attente de réponses !
Merci
Cordialement [HRP]

Comme ca faisait longtemps que je ne m'étais pas rendu à notre demeure, je discutais de l'utilité de la colère de Iop avec le Crocabulia , mais il me semble l'avoir convaincu . Après une courte lecture, je pris une plume et écrivis :

Vos paroles semblent appaisées, vous semblez avoir muri et avoir réussi a prendre du recul par rapport a notre réel, continuez a vous exercer et travailler sur votre maitrise de vos émotions. Mais pensez à en garder pour ne pas être une simple machine.
Mon maitre aimait me répéter cette phrase : Si on tend trop la corde elle casse , si on ne la tend pas assez elle ne sonnera pas . Tout est question de mesure et de dosage .