Mélancoline [acceptée]

IRL :

Bonjour/bonsoir,

Tout d’abord je me présente, moi, joueuse boutonneuse derrière son écran. Je me prénome Mèlina. Je suis d'origine grecque, yougoslave, espagnole et belge ( non, non, je vous assure ca fait un très beau mélange =D )
Je suis née le trois mai mille neuf cent nonante et un ( et oui je suis Belge ;p ), ce qui me donne en ce jour dix-sept hivers au compteur.
Je fais des études d’architecture bien que je pense continuer la chimie à l’université.
Il m’arrive de m’absenter pour des durées plus ou moins longues car je suis née avec une santé fragile ( clin d’œil au choix de la classe de mon personnage ;p )
J’ai pour passions l’art, les sciences en général ( et oui, même les mathématiques x_x’ ) et la lecture.
Je ne fais pas énormément de sport, le strict minimum pour garder la forme ^^’
Je pense avoir fait le tour, passons à la partie IG si vous le voulez bien =)

IG :

Une Mélancoline plus blanche que jamais se trouvait maintenant devant la maison des Allieurs, hésitante. Ses petites ailes translucides, que son tifoux essayaient d’attraper, s’agitaient nerveusement dans son dos et ses mains jointes étaient moites par l’anxiété.

* Déesse Eniripsa accordez moi votre courage que je puisse aller au terme de cette initiative. S’il vous plait, restez à mes côtés comme vous l’avez toujours fait. *

La jeune disciple releva la tête, inspira une longue bouffée d’air frais et poussa la porte de la demeure qui lui parut mystérieusement plus imposante que ses voisines. La porte s’ouvrit et le grincement des gonds tinta bruyamment à ses oreilles. Un pas, deux pas, trois pas,… La nervosité quittait peu à peu Mélancoline au fur et à mesure qu’elle s’avançait vers le grimoire. Elle s’arrêta devant celui-ci et, délicatement, chercha le tome qui l’intéressait : contrats, discussions, recrutement. Voilà ! Elle plongea ses mains dans sa sacoche et en sortit une plume froissée et un parchemin vierge.

* Déesse Enir.. *

Un coup de baguette sortit de nul part frappa la tête de Mélancoline.

« Aieuhhhh ! Ca va, j’ai compris, je vous laisse tranquille ! »

Toujours ronchonne, elle commença à écrire :

Je me prénomme Mélancoline, jeune eniripsa. J’ai douze barrettes et neuf gallons à mon actif.

Je suis une enfant née d’un couple illégitime. Ma mère, Corine, eniripsa mariée à Dides, crâ de son état, entretenait une relation avec Arsène, mon père sram. J’ai deux demi-sœurs, DANIELLE et LaliaX, deux personnes aussi bonnes que leur mère bien que je m’entende moins bien avec la dernière.

Mes débuts ont été fort difficile, en effet, mon père avait disparu et ma mère était trop occupée avec ses ‘vrais’ enfants. Je ne lui en veut pas, elle ne m’aime pas moins que les autres et Dides m’a tout autant chérie, ou presque.

J’ai fait la connaissance de Gayounet aux craqueboules d’Astrub. J’errais, déprimée, ne sachant quoi faire. Ce Crâ a été mon premier ami, une bénédiction. Il m’a aider à monter en gallons et à pouvoir m’habiller convenablement, moi qui était en haillon.
Notre relation de franche camaraderie commençait, avec le temps, à évoluer, un projet de mariage s’insinuait doucement dans nos jeunes esprits. Nous n’en parlions pas encore à haut voix, j’étais si faible et lui si fort que je me serais fait passer pour une opportuniste aux yeux des autres.
C’est à ce moment là que choisi la maladie pour frapper à ma porte.

J'ai du rester de longs mois à l’hôpital de Pandala, isolée de tout et abandonnée de tous. Seul Gayounet m’envoyait encore des lettres. Mais, du jour au lendemain, plus aucunes nouvelles. Plus personne. Je pensais devenir folle dans cette chambre aseptisée. Mais au bout des sept mois, j’avais gardé toute ma lucidité, ou presque, avouons le. J’ai cherché Gayounet partout, dans les moindres recoins du monde des Douze, j’harcelais ses amis qui étrangement ne me répondaient plus. Ce n’est que deux jours après, épuisée d’avoir couru partout, que j’appris sa mort. Seule, à nouveau, mais surtout sans lui. L’histoire se répétait. Celui qui m’annonça sa disparition finit par me retrouver et resta à mes côtés. Orogastus, sacrieur, ami du défunt et camarade de ma toute première guilde. Il est toujours à mes côtés aujourd’hui, à m’épauler dans les moments difficiles, il est devenu mon époux par la suite.

Quand j’ai dit que l’histoire se répétait, je n’ai pas menti. Orogastus, nouveaux sentiments et, comme auparavant, la maladie. L’hôpital fut l’écrin de mes délires, de mes cauchemars. Toujours aucunes nouvelles de personne. A nouveau des mois de souffrance en tête à tête avec moi-même.
Et à mon retour, nouveau coup dur. Certes, il n’était pas mort mais bien pire : il était marié à une autre. J’ai dit accepter avec joie de rester son amie. Il ne me restait que les restes, je n'ai pas cracher pas dessus.
Ma mère voyait cela d’un mauvais œil et me trouva bien vite des prétendants au sein de notre guilde. Je les ignorais tous, passant la majorité de mon temps avec Orogastus.
J’ai bien fait d’attendre car la femme de ce dernier disparut un jour sans laisser de nouvelles et longtemps après il se décida à aller voir le prêtre pour divorcer. Par la suite, il me demandera en mariage.

Euphorique, oui, je l’étais. Enormément même ! Je voulais que tout soit parfait pour le jour J ! Chapeau haut de forme et cape noire pour monsieur, chapeau de la mariée et cape blanche pour madame ! Les petits plats dans les grands, des feux d’artifice à ne plus savoir que faire, énormément d’invité : une fête grandiose. Tous c’est magnifiquement bien passé, nous avons reçu énormément de cadeaux et de lettres bienveillantes de nos amis.

Les années passaient, aucune dispute, un enfant en route. Nous étions un couple uni, solidaire, personne ne se risquait à vouloir nous séparer. Seulement, mon époux gagnait rapidement des gallons et était de plus en plus demandé. C’est pourquoi, malgré nous, nous nous voyions de moins en moins. Et je perdis notre enfant, en pleine brousse, lui occupé avec je ne sais qui.

Ce fut un véritable choc. Je quittai le cocon familial, m’éloignai de mon mari et accumulai les amants. L’élevage de dragodindes devint mon seul havre de paix. Cela ne dura qu’un temps bien entendu, ma famille me manquait et j’avais besoin d’elle pour guérir. Doucement, je m’en remettais, je retrouvais le sourire.

Et l’ancienne femme d’Orogastus, revint, comme une fleur. Notre couple devint bancal. J’avoue : j’étais jalouse et je le suis toujours un peu d’ailleurs, mon meneur l’ayant ajoutée à notre guilde, je la côtoie tous les jours.

Aujourd’hui je suis à nouveau enceinte, j’ai un mari aimant, une famille adorable et un cercle d’amis fidèles. Je n’ai absolument rien à envier à personne.

Si je vous soumets ma candidature, c’est avant tout pour m’ouvrir à une autre communauté, rencontrer de nouvelles personnes et, par le biais de contrats, pouvoir les aider. J’aime le contact et le partage, le mercenariat, pour moi, regroupe ces deux qualités.
Je ne suis pas une eniripsa qui sait tuer les monstres du monde des Douze en deux temps trois mouvements. Ce serait mentir que de dire le contraire. Par contre mes connaissances médicinales et mes mots pourront peut-être vous aider dans quelques difficiles missions.

Avec tout mon respect,

Mélancoline.

Elle relit une dernière fois l’ensemble de son parchemin, le plia et le glissa parmi les pages usées. Elle se fit force pour avancer vers la porte sans reprendre le morceau de papier et le réduire en miette. Son tifoux, d’un coup devenu empathe, se logea dans ses bras et se mit à la câliner. Délicatement, elle referma la porte derrière elle.

[[ Très bon tout ça, je me régale de lire ces nouvelles candidatures. Ton style d'écriture est très agréable]]

En cette belle matinée, Pimousse parcourait le monde des Douzes proposant ses services de cordonnière dans les différents villages. De passage dans la contrée du chateau d'Amakna, elle s'arrêta dans la demeure du Chef, le refuge des allieurs. Cela faisait longtemps qu'elle n'avais put assister à une réunion et ses coéquipiers lui manquait, heureusement le grimoire était toujours là pour rester en contact. Elle s'arrêta longuement sur les nouvelles lettres de postulations. Il y avait là depuis quelques temps des très bonnes, ces aventuriers venus de toute part correspondait bien à ce que recherchait le clan. Elle prit sa plume, et commenta les différentes lettres.

Votre lettre m'a presque convaincu que vous avez votre place parmis nous. Il est vrai que vous semblez bien fragile, mais vous avez une volonté à toutes épreuves, et me semblez bien motivés. De plus une éniripsa dans notre équipe serais bienvenue.

A bientôt,
Oo-piimousse-oO

Forger les dagues de son mari, les améliorer, entraîner ses nouvelles dragodindes toujours plus nombreuses et faire une nouvelle fournée de pain : la journée avait été longue. Oh oui très longue. Heureusement qu'elle ne faisait pas cela tous les jours. Surtout avec ce ventre qui s'alourdissait.

Mélancoline s'était décidée, pour se décharger des tâches de la journée, à aller se promener dans les ruelles du château d'Amakna. Le lieu lui avait toujours plu : tout y respirait la quiétude, chaque pierre semblait imprimée d'une histoire sans être aussi lugubre que le village de la presqu'île des dragoeufs.
Elle jeta un rapide coup d’œil à son fidèle tifoux qui s'amusait à taquiner les dragodindes présentes dans les enclos alentour. Rassurée, elle reporta son regard fatigué droit devant elle et se rendit compte qu'elle se dirigeait vers le repaire des Allieurs.

* Enfin ma fille, tu ne penses quand même pas obtenir une réponse si rapide à ta candidature ? *

Arrivée devant les portes, elle regarda à sa droite ensuite à sa gauche : personne.

* Je ne perds rien à aller vérifier après tout. *

D'un mouvement de la main, elle rappela son familier roux à ses côtés et pénétra la bâtisse de son pas silencieux. Personne non plus à l'intérieur.

* N'y a-t-il jamais âme qui vive ici ? *

Alors qu'elle arrivait devant l'épais grimoire une montée d'adrénaline causée par la nervosité d'une réponse fit éclore un sourire crispé sur le visage pâle de la jeune eniripsa. Comme la première fois, elle tourna de manière solennelle les pages de l'ouvrage.

" Oh ! "

Qu'elle ne fut pas sa surprise de trouver une note à la suite de sa demande de recrutement. Ses mains devenuent tremblantes la prit et elle se mit à la lire.
Lorsqu'elle reposa la note sur les pages de l'imposant livre, ses membres avaient retrouvé leur stoïcisme et ses yeux pétillaient de satisfaction. Elle se mit aussitôt à rédiger une réponse à cette critique favorable :

Bonsoir chère Piimousse ( si vous me permettez de vous appellez comme cela ),

Laissez moi d'abord vous remercier d'une réponse si rapide, je ne vous cache pas ma surprise en découvrant votre écrit.

Il est vrai que seule, je ne suis pas bien forte. Mes facultés ne peuvent s'exprimer que pleinement lors d'un travail d'équipe. Oui, cela peut-être handicapant, mais je n'ai jamais vraiment aimé parcourir le monde des Douze seule.

Une volonté à toute épreuve ? Vous me flattez. Pour tout avouer: je suis loin de l'être. Je ne suis qu'une humble fidèle de la déesse Eniripsa qui sait ce qu'elle veut.

Que puis-je donc faire pour vous convaincre ?

Bonne soirée,

Que les Dieux vous gardent,

Mélancoline.

Cette dernière secoua un bref instant le parchemin noirci de son écriture inclinée afin que l'encre sèche.

* Je me demande ce qu'Oro penserait de cela... *

Avec un haussement d'épaules, elle déposa sa réponse à la suite de la note.

* Ai-je fait le nécessaire ? *

Prise d'un doute, elle voulut se relire mais le tifoux la tira de ses angoisses par des cris : il avait faim.

* Ah la, la, la... *

En levant les yeux au plafond, elle tourne les talons, son familier la collant de près : il avait gagné.

Zut quelle idiote décidemment, je suis vraiment trop tête en l'air en ce moment, j'ai encore oublié de signer... Rectifions cela.

HRP : Cela arrive même aux meilleurs =) ! Je me suis vue dans l'obligation d'éditer également xD Je n'attends plus que vos réponses ;p !

Comme souvent en ces matins d'automne , la brume avait envahit le chateau d'Ankama. Juché sur Darasil je rentrai de ma chasse nocturne. Cette nuit la certaines personnes auraient mieux fait de restées dans les prison de Brakamar, le seul lieu où mon épée ne fait pas loi.
Après avoir pris le temps de nettoyer mon épée et d'avoir mis a l' étable ma monture. Je me mis au travail. J' avais eu vent d'une nouvelle candidature qui méritait qu'on s'y attarde

La voilà donc cette candidature. Voyons voir

Apres une lecture approfondie. Je réfléchis quelques instants et écrivis :

Votre candidature est de qualitée, certains points restent à éclaircir notamment celui de votre grossesse .
Ne pensez vous pas que votre enfant risque d'être un handicap dans vos probables missions ?
Votre instinct maternelle n' altèrera pas votre jugement ? Et même après votre grossesse votre enfant ne risque t'il pas de nous gener dans nos activités ? Me laisseriez vous etre son maitre d'arme ? Pourrais je le matyriser à l' entrainement quotidien ?

De nombreuses questions qui n' attendent que leurs réponses .

" Déesse, qu'il fait froid ! "

Le bonnet bien vissé sur sa petite tête et emmitouflée dans la cape d'hiver de son mari, Mélancoline marchait d'un bon pas vers le château d'Amakna en claquant des dents. Son tifoux, lui, avait préféré rester au chaud, sous la couette, en compagnie d'Orogastus.

* Le traître ! *

Elle s'était levée très tôt, tout comme sa mère car l'élevage n'attendait pas le bon vouloir de l'éleveur: les dragodindes avaient besoin de se dégourdir les pattes hors de l'étable et de se substanter.

" Atchoum ! Ah non ! "

La jeune disciple de la déesse eniripsa sortit un mouchoir en fil de lin de sa poche et se frotta energiquement le nez, rougi par l'humidité matinale.
Préssée, elle pénétra dans le château d'Amakna pour s'habriter de la fraîcheur et voir si elle avait obtenu de nouvelles réponses.
Commencant à prendre l'habitude de pénétrer en ces lieux, c'est d'un pas assuré qu'elle se dirigea vers le grimoire.

" Une nouvelle réponse ! Tiens un autre Allieur... "

Au fur et à mesure qu'elle progressait dans la lecture du biais, son visage livide se décomposait: on lui parlait de son enfant.
La tête commençait à lui tourner. Instinctivement, elle porta une main à son ventre pas encore tout à fait rond et s'appuya contre un mur. Qu'allait-elle pouvoir leur répondre ?

Toute à ses pensées, elle se laissa glisser à terre et se mit à écrire :

Bonjour cher Ailleur,

Vous m'obligez à aborder un sujet épineux.

Vous me posez tant de questions sur cet enfant pas encore né... Arrivera-t-il seulement à terme un jour ? Il parait que je n'ai pas la constitution adéquate pour enfanter c'est pourquoi j'ai toujours préféré éviter d'aborder le sujet pour ce deuxième enfant. J'ai tant souffert en perdant le premier qui hélas n'a jamais vu le jour. Comprenez, je ne veux plus me faire d'illusions.

Mais je me dois d'essayer de répondre à vos questions, j'aurais du m'y attendre. Pardonnez ma bêtise.

Si cet enfant voit un jour le monde, si les Dieux le veulent, je ne pense pas qu'il posera problème. Il a un père ainsi qu'une grande famille. Lors des missions il sera confier à l'un de ces membres. Je ne sais que dire concernant l'instinct maternel, je n'ai jamais été mère...

Puis-je savoir ce que vous entendez par maître d'armes ? Cet enfant sera-t-il obligé d'être mercenaire ?

Mes respects,

Mélancoline.

Bouleversée, la tête emplie d'incertitudes et de questions, Mélancoline quitta le château en hâte après avoir déposé sa note auprès des autres. Oui, elle voulait devenir mercenaire, oui bien entendu. Mais aborder ce thème lui était encore trop douloureux. D'ailleurs Orogastus et elle n'avaient-ils pas fait une erreur en s'accordant une deuxième chance d'être parent ?

Mamy-litaire revenant de sa récolte de lait en territoire des Porcos, passa faire un tour chez ses chers et tendres Allieurs.
Après avoir réaprovisionné les réserves en lait, elle jetta un coup d'oeil au grimoire.
Et là elle se pencha plus particulièrement sur une candidature qui semblait forte intéressante.
Suite sa lecture, on put lire un sourire sur ses lèvres, et elle prit sa plume pour y annoter:

Oh ma chere enfant! (excusez ma maladresse, permettez vous ces familiarités?)
En vous lisant je n'ai pu qu'être touchée par votre récit.
En effet vous avez une plume pure et simple, et vous me paraissez bien motivée.

Pour ce qui est de votre future enfant, je n'ai point réussi à ne pas imaginer. Je me voyais déjà entrain de lui fabriquer sa première amulette, ou de la transformer en hochet, de lui préparer des fioles du meilleure lait . . .

Douce Mélancoline, vous avez mon soutien.

Dropement et affectueusement.

Mamy-litaire.

Celle-ci signa et reparti des images plein la tête. . .

Que vous me laissiez lui enseigner la maitrise des armes nobles comme l'épée ou la hache.
Je lui apprendrai tout les secrets des guerriers Iops. Chaque matin dont il verra le jour le rendra plus fort.
Mais bien sur il aura le choix de son orientation.

Tant de projet pour un pauvre enfant qui n'a pas encore vu le jour. Ne mettez pas tant de pression sur les épaules de sa pauvre mère, qui vit avec angoisse sa grossesse... N'auriez vous donc aucune délicatesse. Quoi qu'il en soit un enfant ne saurait pas être une limite à votre venue dans le clan, ou si ça l'était je m'insurgerai contre de telle pratique. Il n'y a rien de plus beau et d'important qu'un enfant.

Je suis très doux ....l' épée à la main

Bonsoir,
Toutes ces réponses m'ont convaincus, vous avez mon soutien pour votre entrée dans le Clan.
A bientôt, Pimousse.

[je suis aussi pour ton entrée ici]

Ptite-jenni en entrant dans la maison des Allieurs vit le grimoire ouvert a la candidature de Mélancoline elle la lut et écrivit :

Chère Mélancoline j'ai beaucoup apprécié votre candidature, je suis Pour votre adhésion.

Dame Mélancoline,
Surveillez votre courrier, vous ne devriez pas tarder à recevoir une lettre de convocation.

Cordialement, Pimousse.

Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 24/11/2008

[[HRP]] Un peu de rigueur sur le prêt de compte :/[[HRP]]

Mélancoline, encore un peu fiévreuse, s'avança vers le château d'un pas beaucoup moins aérien que d'habitude. Aucune trace de son tifoux. Une quinte de toux la secoue violement et c'est en sueur et la respiration légèrement sifflante qu'elle pénétra le repaire des mercenaires.

" Dieux, le temps empire... "

Son murmure ne trouva réponse que dans l'écho de l'immense demeure. Reprimant un soupir, elle se dirigea vers le grimoire et, de ses doigts fébriles, tourna les pages jusqu'à sa partie.

* Ohlalala, je me suis trop absentée *

Elle lut les réponses à sa candidature une par une, lentement, la vue un peu brouillée par la température élevée de son corps.
Si au début elle eut un sourire légèrement crispé face à l'excitation que ressentait Kobalt et Mamy-Litaire pour l'enfant qu'elle portait, celui-ci se détendit au fur et à mesure de sa lecture : que des réponses favorables à son adhésion !

" Kof kof kof ! "

La toux venait de loin. Elle se laissa une minute pour se reprendre et redigea une note :

Cher(e)s Allieurs,

Avant tout, excusez moi de mon long silence.

Je ne puis vous décrire ma joie en lisant toutes ces réponses positives et j'attendrai avec patience mais enthousiasme ma lettre de convocation.

Je répondrai à vos questions lors de cet entretien, cela sera plus simble, ne trouvez-vous pas ?

Avec toute ma tendresse et mes respects,

Mélancoline.

Post-Scriptum : J'espère que ces potions pourront vous aider à soigner les petites blessures de l'automne.

Lasse, la petite eniripsa laissa retomber son bras après avoir déposé la note. Avant de quitter le château, elle déposa une panier emplis de diverses fioles colorées sur la table. Un sourire flottait sur les lèvres pâles de Mélancoline.

Melancoline, j'ai été très heureuse de faire votre connaissance, par vos mots, vous m'avez, je dois dire, convaincu de votre valeur.

L'épisode de l'éternuement, ça passe, après tout, ça prouve que vous êtes vivante!

Donc, vous l'avez surement compris, je suis pour votre candidature, vous avez donc mon soutien!

HJ : Je n'ai pas vu précédemment le message d'Antek. De quel prêt de compte parlez-vous ?

Theodel pris la plume pour écrire quelques mots à la suite de ceux de Mélancoline. Alors que sa main s'abaisse pour tracer la première lettre il se retourne ayant l'impression d'être observé. "Il faut que j'arrête d'être sur les nerfs, elle n'est pas là"

Chère Mélancoline,
Votre volonté et votre bon cœur semblent allègrement compenser la fragilité de votre constitution. Votre esprit est affuté et votre regard semble voir au delà des armures, j'en ai moi même fait les frais.
J'appuierais votre candidature de ma voix.
Amicalement.
Theodel.

Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 24/11/2008

Mélancoline a écrit:: HJ : Je n'ai pas vu précédemment le message d'Antek. De quel prêt de compte parlez-vous ?

Il m'est arrivé de vous croiser en ces Terres, j'ai bien reconnu votre corps, mais votre ame était celle de votre mari, je me trompe?

HJ : En effet, mon mari a parfois besoin des ressources qui se trouvent sur l'eniripsa. Nous nous connaissons depuis tellement longtemps qu'aucun doute ne plane sur la confiance qui nous lie mutuellement. Et mon mari ne se permettrait en aucun cas de nuire aux mercenaires sous mon nom.

Chère Mélancoline,
Par cette présente lettre, vous êtes convié ce soir à la réunion du Clan qui aura lieu dans la maison du Chateau.
Nous vous contacterons dans la soirée pour vous inviter à nous rejoindre, afin de discuter de votre candidature.
A très bientôt, Pimousse.